LIGNOL AU PAYS DES SOVIETS

MENACES DE MORT

Castelgal
Monsieur le premier magistrat de la commune.
Pourtant tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes !
Mais le 11 janvier de l’an de grâce 2010 un commentaire est apparu sur la page de mon blog « On m’a dit que ». Un homme signant « Joseph Durand » à proférer à mon encontre des menaces de mort « Salaud, on aura ta peau ».
Je pense que cet individu va être rapidement identifié grâce à son adresse IP, et je déposerai à mon tour une plainte avec constitution de partie civile.
Nous avions donc dit, qu’il n’y aurait pas sur ce blog, d’attaques personnelles. (Les chiens aboient et la caravane passe…)
Mais que penser de nos routes en ce moment.
Si ce qu’on m’a dit est vrai, mais nous pourrions aussi dire « si ce con, m’a dit est vrai », la commune possède un tracteur, emploie des agents municipaux, pourquoi ne pas les employer à déneiger nos routes ! Mais il fait si froid dehors, certains de ces agents préfèreront rester dans la cabine du camion, à lire le journal, plutôt que d’aller bosser.

Coût de la construction des prochains ateliers municipaux : Quel est le quidam qui peut dire qu’il connaît le coût de cette construction. Y a-t-il eu un budget préliminaire de mis en place. Une étude de rentabilité… Un budget par corps d’état, avez-vous prévu un dortoir chauffé pour vos employés…..
Et qui sera l’architecte du futur lotissement ? Quel coût pour la commune, et surtout pour nous, petits contribuables, ou alors allons nous devenir « le Deauville de Lorient ».
En ce qui concerne le chemin d’exploitation, j’entame des demain les démarches afin, afin de constituer un dossier, et d’établir votre responsabilité dans ce litige qui nous oppose.
Je souhaite une réponse de votre part.
Serge BARDEL

Incurie quand tu nous tiens

LIGNOL AU PAYS DES SOVIETS

LA FRANCE PAYS DES DROITS DE L’HOMME


Aurais-je des raisons de douter ?
Préambule :
DECLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN
Article 3
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.
Article 7
Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.
Article 10
Toute personne à droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.
Article 19
Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.

Quid de ces belles phrases ?
Est-ce que nous pouvons encore parler ou écrire ?
Quel espace de liberté nous reste t-il dans nos campagnes. Là où « nous » sommes habitués à accepter tout et n’importe quoi, pour des motifs plus que dépassés.
Comment est considéré un blog aujourd’hui ? Je me pose la question, et avec moi quelques autres personnes, qui ne savent pas comment aborder ces sujets de la vie communale, sans s’attirer les foudres du maire, (attention à son statut), ne pas dépasser la limite des bornes, la même chose quand vous êtes mitoyen avec un propriétaire terrien, qui en plus est paysan, Ah !! Nom de Dieu qu’est ce qui fout chez moi !!, lui qui n’a même pas un mètre carré pour aller chier.
Il y a aussi l’autre face qui en surprendra plus d’un, cette autorité de la force publique qui prend parti, à cause de la pression de leur hiérarchie, (en termes vulgaires, ça fout le bordel quand un élu dépose plainte).
Pouvons- nous dire ce que nous pensons, mettre un coup de pied dans la fourmilière, je m’explique : ces toutes petites bêtes (fourmis) ordonnées, agissant sur ordre, ne négligeant rien, surtout des provisions pour leur propre camp, réélection oblige. Cela à toujours été le cas des municipalités de gauche, même si on affirme haut et fort être sans étiquette. En aparté, il faut savoir que lorsque l’on achète des vêtements dans un magasin à bas prix, ces vêtements ont toujours des étiquettes. Même dans les solderies. Je pense que le conseil en place est un conseil à bas coût (manque de vision, gestion à court terme, et le reproche suprême, le manque de transparence). Il aurait été possible d’avoir mieux sans faire des efforts insurmontables.
Il y a eu à LIGNOL des gens de qualité, capables d’aller chercher des subventions, de monter des dossiers même compliqués, connaissant le tissu local, et régional, avec des réseaux établis, et de grandes qualités personnelles et intellectuelles, (il avait pris en main la campagne municipale et son « poulain fut élu, mais ce dernier lui a mis le coup de pied de l’ âne » .Il avait pourtant une grande capacité pour mener les projets, capable de faire venir des entreprises à LIGNOL, (nous en avions parlé ensemble, et ses propos étaient judicieux, et fondés). Cet homme fut évincé dès le premier jour par la vindicte des nouveaux élus, et dès la première réunion, « pour la distribution des postes », sous des prétextes fallacieux que je n’oserai pas évoquer sur ces pages. Cette année là, LIGNOL est passé à coté de son avenir, mais à qui la faute, (Pas de nom), pourtant l’homme dont je parle, n’est pas de ma famille politique, mais il a toujours toute ma sympathie. Je souhaite rappeler cet épisode aux électeurs de LIGNOL, pour que l’histoire ne se reproduise pas la prochaine fois. Réfléchissons ensemble, nous en avons encore le temps.
Cessons de croire que parce que les personnes qui sont capables de tracer des sillons, sont aussi capables de mener LIGNOL sur le chemin de la modernité, d’en faire une petite commune attractive, pour des entreprises, (il y a peut être d’autres entreprises que l’agro-alimentaire, quelques exemples malheureux sur LIGNOL en sont la preuve).
Il faut y réfléchir, mais la chapelle des uns n’est pas la chapelle des autres. (A part le maïs, les cochons, les primes P.A.C, et surtout leurs prérogatives obtenues par héritage, dans la plupart des cas). Ces personnes tiennent à leurs avantages acquis, et tiennent à rester des « notables ». Ces gens la devraient lire le Bourgeois gentilhomme, je suis sur qu’ils se moqueraient d’eux même. Alors lorsqu’ un quidam «venu de nulle part » émet un avis qui sort du sillon, on porte l’anathème sur lui, et si nous étions au siècle des galères, on l’y enverrait.
Quand on est de gauche, il faudra un jour m’expliquer comment on peut être un élu de gauche, (ou sans étiquette c’est la même chose, ça fait plus propre), et avoir des relations étroites avec une grande banque privée.
Pour répondre à cette interrogation que se pose beaucoup de gens, peut on tout dire ? Oui on peut dire, mais attention aux « écouteurs » qui peuvent être des sous marins de l’adversaire politique, celui qui pourrait vous faire mettre « en garde à vous ».
Tous ces « braves » gens, travaillent pour le bien du peuple, (ah, j’ai osé le mot), mais entre eux, étant heureux pour quelques année d’être investis d’une mission divine, un peu comme les curés qui lorsque on leur posait une question précise, ceux-ci avaient souvent cette réponse « ayez la foi mon fils ».
« Pour grands que soient les rois, ils sont ce que nous sommes : Ils peuvent se tromper comme les autres hommes. » Corneille

Pouvons nous pensez que le petit peuple qui les a élus, ne puisse pas avoir accès à plus d’informations et de transparence.
Mais nous sommes sans étiquettes, affirment les élus, sauf certains qui affichent leur appartenance politique, et heureusement, il y en a quelques uns sur le canton.
Déranger, c’est au fond ce que les élus nous reprochent, lorsque nous posons des questions, car «l’ordre » établit, est toujours aussi vivace, les intérêts particuliers masqués par une appartenance, à telle ou telle caste, et lorsque nous demandons quelques explications, on nous regarde comme si l’on descendait d’une autre planète.
Un projet nouveau sur la commune, une question posée, une remarque, et là vous êtes en plein dans le crime de lèse majesté, vous faîtes remarquer qu’à tel endroit, les routes sont massacrées, qu’il n’y a pas de panneaux « travaux », que la boue peut créer un accident…… Nenni, pas d’actions, plus, un simple haussement d’épaules et réponse : (faut bien qu’ils travaillent).
J’ai toujours eu, lorsque j’allais en mairie, le sentiment de déranger, les employés ne semblent pas à l’aise c’est vrai que le patron a des griefs contre vous . Même pour aller y chercher des sacs jaunes pour le tri collectif, le registre étant bien tenu, on y regarde la date à laquelle vous avez eu votre dernière livraison (mais on vous en a déjà donné il n’y a pas si longtemps !).
Les constructions et agrandissements sans permis, est-ce une infraction, un délit ?
Le fait de transformer un garage en dépôt-bureau, est-ce une infraction ? Peut-être pour les impôts (l’avenir le dira) !
QUESTIONS que je me pose actuellement
Les forces de police et de gendarmerie doivent elles être impartiales dans leurs démarches ?
Peuvent-elles intimider un citoyen ? : (La prochaine fois c’est moi qui vous mettrais en garde à vue, et pour 24 heures ? Pourtant le prochain délit n’est pas encore établi).
Peuvent-elles prendre partie dans un conflit entre citoyens, même si l’un d’eux est maire, ou juger à charge les propos d’un blog, même si ces propos font l’objet d’une plainte ?
Peuvent-elles refuser d’établir une plainte (surtout si celle-ci est pour menaces de mort).
Le fait que je me pose ces questions, est-il le commencement d’un délit ou d’outrages à personnes ayant autorité ?
Tout le monde veut que le calme règne à nouveau, que les dissidents rejoignent le troupeau de moutons surveillé par son bon pasteur, qu’il n’y ai plus de vagues, et que l’on continue à nous rouler dans la farine, et surtout que l’on ferme nos gueules, désolé, celui ou celle qui voudra nous faire mettre un genou à terre n’est pas né.
Pour ma part, J’ai, par deux fois été jeté à terre, et molesté, (onze jours d’arrêt de travail, et affaire classée sans suite par le parquet.) C’est terminé, j’ai juré devant Dieu, que si cela devait se reproduire, si un individu quel qu’il soit me mettait la main dessus à nouveau…..Et bien « Paix à son âme ». Je ne suis pas un surhomme, mais la détermination qui m’anime fera le reste. « L'amour n'est qu'un plaisir, l'honneur est un devoir. » Corneille

Voila j’ai encore une fois, osé écrire ce que j’avais sur le cœur, ai-je un problème existentiel, comme on me l’a signifié dans l’après midi du 13 janvier ? Suis-je un malade mental ? Dois-je consulter ? Ces propos tenus à mon égard m’ont fait l’effet d’un camouflet en pleine figure et je les considère comme à la limite de l’insulte. Je paie mes impôts, mes amendes et me considère comme un citoyen à part entière, je n’enfreins pas la loi, je peux me regarder sans honte dans une glace. Lorsque l’on m’a dit avec beaucoup d’insistance, que ce qui m’arrivait n’était que le juste retour des choses, ne puis-je me défendre et faire valoir mes droits ? Comme tout citoyen à savoir, déposer une plainte, à charge pour le parquet de décider ou non s’il y a lieu de poursuivre, mais d’accepter de recevoir cette plainte.
On me dit que j’en veux à tout le monde, c’est inexact, mais l’incivisme, et le détournement des lois par certains, me fait bondir, alors que les élus ne font rien… Et quand ils passent devant ces infractions, ils tournent la tête… Ou alors, ne vont-ils jamais sur le terrain ?
Un exemple pas plus : La mise aux normes des fosses septiques, ou leurs créations, qu’en est-il ? Peut-on continuer comme au moyen âge ? Un état des lieux a été établi, aux frais de chaque contribuable. Qu’en est-il de la suite ?
Aller je vais finir par vous saouler, j’en termine par cette citation : « O combien d'actions, combien d'exploits célèbres sont demeurés sans gloire au milieu des ténèbres. » Corneille

Pour aujourd’hui, je vais simplement reprendre la lecture de quelques ouvrages, et oublier pour quelques heures toute cette cacophonie, mais le blog continuera d’exister.
Au hasard, comme lecture je conseille aux élus : « LA PENSEE TRANSDISCIPLINAIRE ET LE REEL » de Michel RANDOM, ou alors en mieux…..
Oh non, excusez-moi, qu’ils en restent à la France Agricole.
Sincères salutations, ou si vous préférez : Salut et Fraternité
Serge BARDEL « le blogueur fou »